La bioélectronique de Vincent

Jeanne Rousseau était une scientifique passionnée par la recherche. Elle avait observé et relevé des phénomènes physiques indiscutables, que la science « officielle » de l’époque n’a pu lui expliquer, et n’explique toujours pas aujourd’hui…
Elle se mit donc à chercher les réponses par elle-même et fit la rencontre de Louis Claude Vincent. De leur collaboration est née la Bioélectronique de Vincent (BEV), véritable science de la Vie que tout chercheur de vérité devrait connaître.
A minima nous vous conseillons de visionner l’entretien de Jeanne Rousseau 1 et 2 et surtout d’écouter la conférence extraordinaire de Louis-Claude Vincent ci dessous.

Cette science démontre, entre autres choses, que l’on ne devrait boire que de l’eau diélectrique ! (sans minéraux).
C’est-à-dire de l’eau la plus résistive possible pour permettre à nos cellules de se nettoyer et surtout pour éviter des phénomènes d’électrolyse et donc de stress oxydatif induits. La BEV explique ainsi, et de façon tout à fait indiscutable, qu’une bactérie, un virus ou n’importe quel organisme vivant ne peut se manifester que si le milieu (le terrain) lui est propre et donc adapté.
Et qu’il suffit de modifier un des trois paramètres de son milieu que sont le Ph (acide/basique), l’oxydo-réduction ou la résistivité électrique et ce même organisme vivant disparaît instantanément !

La bioélectronique de Vincent

Vous pouvez dès lors faire le lien avec ce que le grand chercheur du début du siècle qu’était Antoine Béchamps avait affirmé et démontré en son temps :
« Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout ».
Et une citation moins connue mais lourde de vérité : « Rien n’est la proie de la mort, tout est la proie de la vie. »

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